Et comment te le dire
Alors que tout dehors, la neige brûle ma peau
Tu ne le sais pas, Toi et Tu es au chaud
Dans ton serein cocon
Tu ne vois pas l'inconnu à ta fenêtre
Tu ne sens pas cette immense solitude
Dans ta maison remplie de sollicitudes
J'ai tant fuis, non rebellé
J'ai tant essayé de comprendre...mon incapacité
A être comme vous tous
Je suis un fou finalement si sage
De ne point vouloir de vos images
Mais dans cette nuit...je reste triste
Tu dis oui, tu promets si bien
Mais de tes mots en actes il ne reste rien
Tu feintes et tu joues
Et moi Je tends.....ma joue
La seule main qui vient la toucher est glacée
Tu es de glace imperméable, et voilé(e)
Aux coups que tu portes dans l'indifférence
Je vous ai fuis, lorsque maudit
Mendiant la lumière en sursis
Tu dois m'en vouloir de mon silence
Mais je te rends un peu de ta science
Et je reste franc même sans les mots
Toi je le sais tu reviendras secoué(e) et troublé(e)...
Je n'aurai aucune pitié, que du dégoût dans ta venue
Puisque tu vis dans le Trop, mais tu ne vois rien
Tu es perdu(e) lorsque moi je m'attache à me trouver
Puisque nu, je vis de Riens qui font mon Tout
Mais bien que surpris je te saisis
Pourquoi ne le vois-tu pas cet inconnu
Un bonjour me suffirai, en moi un respect et un "merci"
Comme enfin simplement reconnu
Mais............................................................... Je reste fixé ... là sur le pavé.