Vibre
Continue de vibrer
Cours ou marche
Mais Reste
Libre, dans cette courte histoire
Dans ce livre dans lequel tout se déploit
Un univers
Dans un simple cadre
Un jeu de règles et de matière
Un Nous dans ce Mystère
Dans quelques lieux, mais nulle part
Libres, ce n'est pourtant pas à lire mais à Vivre
Comprendre, Apprendre...sans se garder
Parfois se rendre, sans se regarder... Voir
Et pouvoir sans retard...Exister
Partager dans ce Passage
Sans se retourner, mais le Considérer
Ce passé de légèreté, et continuer Son chemin
Le futur est replié jusqu'à l'inconnue reliure
Ce présent apporte jusqu'à ton intime porte, délivre
Qui conte le fond de ton existence, pour en saisir tous tes sens
Aime le Tout et son travers plein les veines
Humains, du chaos virtuel ou dans le vide
Divins vivants d'enfer ou meurtris du paradis
Dans nos prunelles s'étendent peu à peu nos ailes
J'étais refermé dans ma propre maison, derrière ma fenêtre cloisonnée
Parce que mes peurs si nombreuses, m'avaient habillé de leurs dorures
J'aurai perdu ma joie, à façonner mille plans dans ma boite pour me protéger
Pour en vain corriger ce monde et qu'il colle à mes phobies qui m'attachaient
Et par contorsions, multitudes contusions, j'ai dû découvrir ma réelle consistance
Ces sentences jusque là repoussées dans les convois d'autres responsabilités
J'ai dû par force, prendre à la fois mes faiblesses, et ma prouesse à me relever
Je pensais facilement fatalité, sauf de celles que je m'autorisais pour m'oublier
Le coeur bien qu'ouvert l'est à demi de ce rigide auteur
Ici ou ailleurs, le pire du pire souhaité pour enfin savourer
Dans la boue, la poussière ou les douleurs, du sang pour Exprimer et Aimer
Je n'ai plus de poids à transférer, c'est accepté et c'est bien meilleur de se porter
C'est un paradoxe, considérer ce qui fait nous disparaître pour Être
C'est un duel, soi et les nombreux moi, à profiter de ce jeu des lumières
C'est contextuel, mais c'est merveille ce Soleil sans mise en scène
L'ombre délicate et celle qui enclave démontrent encore Le Miracle
C'est pleinement soi, qu'on ne se regarde plus
Cette immensité sensible émerveille parce que... juste là
Un libéré éclaire de simplicité ce qui en soi est directement exposé
Ces grands terrains fertiles desquels on s'abreuve et on se nourrit d'Humanité
Commentaires
Je suis surpris de ton message, c'est vrai je me souviens d'"Azurine" ..et en effet j'ai moi-même changé et suis beaucoup plus serein, donc mes écrits suivent c'est bien que cela se ressente. Merci à vous deux d'être passé. Bonne soirée, bises
Cyclamen, je reste convaincu et tu le seras plus tard, mais le plus grand des vertiges, c'est le chemin par lequel on se fuit. Celui qui rassemble est en effet difficile, mais il est encore celui qui restera derrière toi pour montrer de ta valeur et de ton courage, et il sera celui sur lequel tu pourras t'appuyer pour continuer d'avancer et cela avec ton vrai sourire
Le plus long chemin et le plus courageux est d aller a la rencontre de soi, d oser, mais c est encore trop vertigineux pour moi.
Bonsoir ,
Je suis heureuse de retrouver ton blog, il y a des années...j'avais un autre pseudo cristalline ou azurine et j'ai quitté vef, et voilà aujourd'hui je reviens et je lis un com à toi. Je suis touchée, tu ne te rappelles peut être pas ....tes écrits ont évolués plus serains il me semble. Gros bisous. Belle soirée
Bonjour
quel magnifique texte, en résonance avec mon âme...merci.
dommage que tu ne publies plus...
A bientôt
co
Bonjour,
que dire...tout simplement : superbe....
J'aime beaucoup ton univers...A bientôt !
Co
Magnifique !