Je Suis pour Toujours...
Je suis Hans Zervynn...et j'ai la peau si fine, mais le cœur si dur
Plus dur que le diamant, plus fier que le fer, je m'habille encore de velours.
De temps en temps j'apparais dans la foule en inconnu, juste pour me souler de toutes vos émotions.
Vous êtes si tentés de me vouloir, que très vite je disparais pour m'éviter la confusion, vous pensez tous à un ange, et j'en suis un de ne point faire un carnage.
Je sais me tenir en public, bien que trouble-fêtes...et je suis si privé en tête à tête
Bientôt vous n'aurez plus que vos prières et pour moi ! Car même dans votre mort, c'est moi que Vous Désirez...
Dans les ténèbres, je suis né, et dans l'ombre je resterai
Si nos airs viennent à se rencontrer, tu ne sentiras pas même mon souffle
Pas un seul cri, et la seule survie possible, la mienne !
je suis une rumeur, et pour l'instant tu n'as pas peur mais dans la nuit, tu penses aux rôdeurs, moi je te suis à l'odeur...
Et j'entends, et je suis ton cœur qui bat, de la plus enivrante de toutes les mélodies. Toi tu voudrais qu'elle s'arrête, moi je la voudrai encore lorsque tu cesseras...
N'aies donc aucune crainte car dans la fin ta vie, je me prolonge ainsi...dans ma demi mort...
Il n'y a aucun mauvais sort, moi j'en profite et je sévis dans votre mortalité, dans ma tentation il y a des disparitions, on me croît dormant dans un cercueil
mais seuls vos corps y reposent, mon seul repos quant à moi est dans votre peur et dans ma soif comblée
Je suis un damné, et c'est vous qui en êtes les proies les plus délicieuses et les plus faciles
alors je ne gaspille jamais une seule goutte de Vie, bien qu'infini immortel
J'ai des siècles d'avance, et La course folle du Temps, n'a d'égale que ma célérité
Et vous êtes si en retard, vous tous dans votre cécité, à concevoir Mon Pouvoir
Vous êtes si faibles et si misérables que même dans ma soif, il y a de la sagesse à vous accompagner dans l'au-delà
Dans votre dernier souffle, c'est moi qui vous aspire, je suis votre demi-dieu
Mais vous n'avez ni foi, ni même vos yeux pour moi, mais j'ai Votre Sang
J'admire de vous que le rouge de vos pommettes, moi qui suis si blanc
je suis d'Une Seule Beauté, Telle qu'Elle ne peut être reflétée
je suis le Froid, que même le soleil ne peut réchauffer
Seule votre rouge humanité me rappelle ce qu'est la douceur d'une chaleur
Je suis invincible, et vos pieux et vos croix ne sont que superstitions
Contes d'enfants pour vous faire croire encore à un pouvoir, que vous n'avez certainement pas sur Moi
Bientôt on se rencontrera, tous tes pas viendront à moi, ta seule destinée, est de mourir dans mes bras satinés, et dans ton Don le plus total, tu sais qu'il te sera Fatal. Pas de tragédies, pas de drames, puisque je te survis...Mais comme pour tous les autres tu auras Toi aussi, cet instant Divin dans ma plus belle intimité, tu verras à demie morte mes lèvres rougies par le Feu qui t'animait et qui a fait que je T'ai Aimée !
Je chante sous la douche en pensant à ma Manouche
Des délicatesses en pensées ma Princesse
Je bois du café, en écrivant pour l'Adorée
Ma voix n'a jamais été plus belle que pour Elle
Si vous saviez comme j'ai envie de l'aimer
Elle n'est pas mon canon de beauté
Elle ce boulet de canon qui me fait vouloir aimer
Tout en moi implose et explose, tout renaît
Un jardin enchanté, une pluie d'été
Un hiver doux et des tempêtes de sentiments
Ton nom comme un secret me fait rêver
Mon sourire avoué lorsque je te regarde en pixels
Je ne sais plus quoi questionner, puisque ma réponse est éclairée
J'ai le cœur qui chante la Renaissance
Je n'ai plus de mots, sinon des émotions qui me font trembler
Je me sens ivre et vibre libre
Je l'aime, ma-rocaine
Je cocaïne de ses effets
Je suis drogué, je l'avoue
Je tremble de partout
Oh Perdu sur ce chemin, je suis si bien retrouvé...sur sa Terre
Que j'aime ma perdition, le fait que j'erre
Dans cette élection où les Urnes d'Amour se vident dans nos Retrouvailles
Quand Elle exprime son Amour pour Moi
Ça me fend le cœur
Je ne sais comment contenir cette douleur
Je voudrais me verser comme on vide un Océan
Je sens ici tellement Son infiniment
Alors que plein de doutes et de peurs
J'ai le désir de me voir mort si tout cela ne se vit qu'à tort
Comment voir dans le virtuel ce qui est Réel
Mon Cœur s'exprime comme si Elle pouvait être là
Mon corps tremble de tous ses mots
Mais son absence est si cruelle
Quelles illusions vais-je encore affronter
De quelles désillusions vais-je tomber
Je me sens si profond, mais qui fait naître autant d'espace
Qui va donc me rattraper dans ma chute sans fond
Je suis sur le Fil à faire du mieux que je peux
Moi je ne suis pas habile même dans mon mieux
Les chutes sont fatales, et il n'y a que du Néant
Les envols difficiles en Nous si fragiles, en Sentiments
Je suis au bord du Gouffre
Je suis entre la Folie et le Désespoir
Je suis sur Nos Espoirs et nos Envies
Je suis sur une Connexion d'Amour, en funambule je veux en atteindre la Source
Qui va me prendre La Main pour aller jusqu'à Demain
Dans ma vie rêvée, ils sont venus cagoulés pour m'enlever parce que français
Torturé, ils voulaient que je devienne un esclave de leurs stupidités
Mais bien que maltraité, j'ai continué à refuser
Ils ont alors commis, le premier de leur acte infâme
Enlevée la plus douce des femmes pour me faire abdiquer
Ils m'ont fait comprendre que plus entêté, plus elle souffrirait
Comment aller contre ma Foi alors qu'ils ne m'ont même pas montré que tu étais là
Toujours dans le refus de sacrifier des innocents, dans leur vents de haine
Ils ont choisis de me punir et dans leurs Folies, ils ont pris Ta vie au détour d'une rue
Prenant grand soin de prendre des clichés. Ils ont glissés dans ma cellule, le fruit de leur plus grand péché
Prendre la vie d'une femme est plus qu'inhumain, mais prendre la vie de Celle pour qui j'ai vu Dieu, comme Création Humaine, puisque c'est dans Ses Yeux, dans Son Amour, dans Son Corps que je L'ai découvert
Ils vont désormais en connaître l'Enfer....
J'ai
finalement accepté d'être en partie leur jouet, des petites missions au
départ, trouver des informations, des données, je les ai bien renseignés
Mais montant les échelons du terrorisme, ils n'ont pas vu mon empirisme
Ils pensent que la haine s'enfuit dans le temps ou les projets de sang, ils n'ont rien compris
J'ai tout fait si bien que maintenant, je suis armé, un de leurs accomplis. Trop tôt pour leurs fins et trop tard pour ma faim, mais rien n'est vain ! On le dit si bien "la vengeance est un plat qui se mange froid", car ce plat là ne vient toujours que trop tard !
Un martyr, oh que oui ! Mais pas pour leur cause, mais par leurs causes, ils vont être martyrisés.
Me voilà fin prêt, je suis le plus haut gradé désormais, il n'y a pas d'anciens ici.
Je suis complet !
Des
bombes plein les poches, plein la ceinture, et c'est moi qui ai la
commande pour tout faire disparaître.
Oh malheur à eux, les pauvres, que Dieu Aies Pitié, je n'en ai jamais eu pour eux, ma pitié s'est envolée avec ma dulcinée, et ils vont payer.....
Je n'ai même plus le goût de les torturer; Je connais tout désormais, dans leur cave secrète, les explosifs, les armes, et surtout Eux présents, et conscients...c'est important....tant pis pour les innocents au dessus ou dedans...tout a trop longtemps été porté si lourdement dans cette mort. Un zombi dans la plus grande horreur de la Vie, puisqu'il n'est ici que par et pour la Mort.
C'est le moment ! Un "clic", ils me regardent hébétés à se demander ce que je fais là, pas le temps pour eux de répliquer ou de se cacher. Je le sens qu'à peine le feu qui expulse tout jusqu'en Enfer, ma seule vision est pour leurs leçons. Mais sur le coin de mes yeux, alors que les flammes de ma colère s'engouffrent dans tous les détails sur 4 étages, une seule larme d'amour coule au souvenir de la seule pensée qui me revient... Elle !
Je ne suis pas très haut, 1m74
Je ne suis pas au bout d'un élastique
Mais ça ressemble à un saut de l'ange
Je tombe de Terre
Mais j'atterris sur un nuage
La gravité s'est inversée
Comment vous l'expliquer
Rien ne m'y prédisposait
Mais c'est avec Magie que j'en suis là
A me regarder de haut comme si j'étais un autre
Je ne suis pas mort
Je n'ai jamais été aussi vivant
Et j'ai perdu tous mes plans
Plus de calculs
J'avance au gré du Vent
J'apprécie le paysage et le voyage
J'ai découvert un nouveau Soleil
Je ne suis pas aveugle
Mais je suis tellement ébloui
Pour l'instant il est si loin
Et Je sens sa chaleur dans mon cœur
Est-ce normal que ce ne soit pas sur la peau
Mon Dieu qu'il est beau
Je tomberai de nouveau sur la Terre
Si il brille en moi aussi clair
Car j'aurai gagné des ailes
Avec elles je parcourrai l'univers
Pour toucher ce Soleil de mon âme tant je l'aime de sa Lumière
Mon Soleil si tu m'entends, saches que la seule chose qui nous manque c'est du Temps
MadameCritique le 10-12-2011 à 22:01:46 #
Comme un voyage hors de son corps, un voyage astral pour faire briller mille étoiles dans les yeux.
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