Sous la pluie dans une ville en ruines
Dans un état sombre et comprimé
Pour te protéger
Dans une cité où les ténèbres règnent
Un feu qui ne s'éteindra pas, s'éveille
Pour que tu survives
Anéantissement du Tout connu, Ancien
Une naissance au milieu des deuils
Il y a enfin Quelqu'un qui se lève
Avec une Force vive
Pourquoi c'est dans les douleurs que nous comprenons
je ne sais pas
Pourquoi c'est dans la peine, que nous trouvons le chemin des places de joies
je ne sais pas
Pourquoi c'est dans la boue et le sang, que voulons enfin vivre de lumière et de paix
je ne sais pas
Dans le Néant, nous naissons avec trop de poids
Dans ce Néant, nous renaissons avec Notre propre Choix
Pour un Sens à nos vies, enfin dans une juste Loi
Un prix
Une vie
Tout miser, et tout risquer
Car ici, le risque c'est de ne pas Vivre
À tes côtés, je saurai veiller tes flancs
Devant toi, un bouclier de Foi
Pour Toi, cette épée qui de cible ne se méprend pas
Dans une ville en ruines
Dans une cité où les ténèbres règnent
Avec la seule Force vive
Pour te protéger, pour que tu survives
Parce qu'en moi ce feu allumé
N'a cessé de consumer peurs et douleurs
Pour que ton heure vienne
Je me suis levé dans les complaintes asphyxiées
Par un air sain et nouveau, j'ai survécu pour une Passion
Je n'ai pas d'autres raisons ici et maintenant
Que tu vives au-delà des trépas et des combats
Que tu comprennes enfin que Ta Valeur est La Mienne
Je voudrai te répondre, comme pour tout faire correspondre
Un écho à ton rappel à ta parole, pour que tout ça colle
Et surtout nous
Mais tout coule
Il y a eu un passé, avec ces dons, et jusqu'à l'effondrement
Je m'en suis cru capable et en innocent
J'ai voulu porter le poids de la vie et d'un autre destin
Il n'y a pas de hasards, et tu peux le comprendre
J'ai aimé, j'ai chuté, je me suis relevé et appris à aimer avant tout la Vie
La seule pouvant encore se vanter de me côtoyer
Le poids des regrets n'a pas d'emprise
Le poids du sort lui est bien plus fort
Je n'ai pas de moyens sinon d'en créer un lien
Une nouvelle façon de partager
Un nouveau chemin où les mains libres sauront s'offrir
Le choix de continuer malgré tout, en être libre
J'envie ton innocence mais tu la perdras ! si tu ne sais pas te donner sans t'abandonner
On se dit plus fort à deux et mieux
J'ose espérer d'être mieux seul, pour l'être du moins tout autant accompagné
J'ose croire encore que l'amour qui unit se vit au-delà de ce qui sépare
Mais je ne me permets plus de croire que de séparations il ne sera plus question
Il est une réalité dans les faits
Elle est pour moi...acceptée !
Je le rêve, Je le sens, et Je le vis
Dans tous les replis de ma fonction, et dans toute cette fiction
il est une vision, une seule action pour laquelle je suis né
Je dois la façonner...avant ce jour, fin d'éphémérité
Sans âge je resterai gravé dans les mémoires
Sans passé, ni futur...
Ce seul présent sera un Symbole
De Liberté, de Courage et d'un Combat
Non pas que tout homme peut mener, mais tout Homme peut le sauvegarder
De mes mains liées, de mon corps simple et nu, je Serai
Épée dans mon cœur sous la croix
Bouclier pour mes frères, sous leurs bannières
ils comprendront qu'il est des révolutions contre toute soumission
Une destinée, au profit de tout Homme
Tandis que dans la mort, je ne pourrai pas en profiter
Mais sur ce terrain, je comprends maintenant
Cette passion aura eu raison de toute ma vie
Tous ces points en ligne rompue, étaient unis
Ce fait dépasse nos conditions, et autrefois ma compréhension
Que faut-il de plus pour mener une armée
Sinon une folie, une raison, et une valeur au delà des pertes dans le sang
Il n'est aucun meurtre juste, mais il est des hommes qui veulent payer de leur Vie
Le Prix de ce qu'ils accordent à Celle-Ci
Au nom de la Vérité, et de la Justice
Oh dérive...
On se perd ou l'on dirige et l'on exige au Ciel même
Plus qu'un souhait, comme un vœu déjà exaucé
Il est dans nos mains encore vides le regard d'un futur bientôt révélé
Je suis né ici, j'ai vécu ici encore
J'ai foulé de mes pieds cette Terre
Sous ce ciel bleu, j'ai ris heureux
Et dans les espaces de cet univers sombre, j'ai combattu pour une Lumière
Dans ce soleil, j'ai gravé ma Prière
J'ai inscrit dans les airs des vies futures, la seule trace que j'aurai voulu suivre
Puissent ceux qui viennent dans ce sillage en être dignes
Car dans ce signe qui n'est pas personnel...
Je me suis laissé aller au néant, pour que d'autres venant
Goûtent le sens de la Justice et de la Liberté Universelles
Une de gauche, une de droite...j'ai deux mains
Mais voilà qu'elles sont bonnes qu'à se mettre des claques
Voici une révolution à naître, qu'elles veulent à tout prix la faire en solitaire
Mais sans contrefaçon liées, elles se veulent dissociées, ses sœurs d'armes
Rappelant des faits jusque là passés, à s'exposer en maître de vertu et de vérité
Oubliant La Priorité...elles appartiennent au même Corps
Mes doigts prennent parti et s’emmêlent en confusion des profusions de preuves
Aussi subjectives que leur invectives pitoyables et mineures
C'est moi qui tient le couteau à beurre
C'est moi qui tient la baguette...c'est moi qui remonte la braguette
Et c'est encore moi qui de gestes sûrs assure plaisir de ce membre dénudé
Mais faut-il préciser qui s'occupe de l'autre côté
En veux-tu en voilà des comptes de mégères
N'y a t-il pas plus intelligente, plus "cervelée" qu'une autre
N'ont-elles toujours pas compris qu'en défini, elles ne sont qu'un moyen d'accès
À une liberté, à une expression au-delà de ce qu'elles sont !
Mais non passe d'armes, et du poison pour son compagnon
Il faudrait deux mains gauches, deux mains droites
Sans voir l'handicap que cela causerait à mon opinion
Elles ont leur faits et leur méfaits...maintenant faudrait s'accorder
Une de gauche, une de droite...pourtant au centre de l'intérêt !
Être ambidextre n'est pas donné à tout le monde
Prendre parti ne rime à rien ici-bas, tant tout est encore à déplorer des deux côtés
Heureusement ceux qui sont au plus bas, savent où aller...ce sont mes pieds !!!
Un corps, des partis...une seule direction pour des solutions à venir !
Une de gauche, une de droite...cela fait sourire
En espérant qu'il n'y aura pas de pire !
Anima le 30-12-2014 à 18:34:23 # (site)
Coucou ^^
Les mains peuvent se tendrent vers les autres, elles peuvent être caresses, appui, et prolongement de notre coeur.
<3♡
lumaee le 07-05-2012 à 15:06:37 # (site)
Oui oui...merci Pasko. Cela faisait un moment que je n'avais pas écrit en effet ...merci pour les fleurs, salutations enjouées
Il y a longtemps, je suis parti
Non je n'ai pas fui qui tu étais...tu le sais
C'est pour Toi, que tout a été fait
Non je n'ai pas menti
Je n'ai pas cherché à avoir un lieu plus doux que tes bras, bien au contraire
Je voulais un endroit dur, et presque désert...pour en revenir plus fier
Mais je suis revenu, et je l'ai découvert le cimetière où tu m'as entérré
Sur ce lit où mon côté est de poussière, tu as souhaitée te venger
Soit, un mal pour un mal, finalement il m'aura fait du bien qu'à moi, ce voyage
Puisque pour toi, tu considérais en abandonnée que c'était de mauvais présage
J'ai cherché à comprendre, en quoi j'avais mal agi, en quoi tu avais raison
De laisser notre passion si brinquebalante, pour un carpe diem de saison
Deux moi d'enfer, où tu souhaites te taire, tandis que je désespère
Je m'affaire, un travail c'est bien pour cesser de penser à ce que tu délaisses
Vite passe sale temps maudit, avant que survienne la folie meutrière
Je prends voiture, musique...mais je me perds dans mes larmes sans cesse
Tu reviens encore différente, je le vois que ce n'est pas Toi...tu ne m'aimes pas !
Dans tes yeux, se lit l'aveu que je prononce dans des mots que tu ne diras pas
La rupture est la suite d'une cassure intérieure pour nous deux, anciens amoureux
La suite est déplorable, de larmes en verres servis pour se tenir compagnie à deux
De temps en temps, des rires le temps d'un repas, d'un café
Tu repars, et je retombe encore, tandis que mon coeur saigne
Crois-tu que sans le savoir tu savais encore le panser
Tu reviens de nuit, porter ton message d'ivresse dans laquelle tu baignes
Amitié, Amour...non ce n'est pas similaire !
Preuve pour tout ce que j'ai souffert !
Pour te donner ce que tu attendais de mon souffle d'air
Enfin arriver à te présenter ce cadeau anciennement offert
Mais tu le prends comme évidence...
Tu te dis meilleure amie...
Et en traitre, tu viens verser tes reproches de ce couple que je regrette tant, ainsi !
Est-cela l'amitié, prenant ma main pour y déposer le couteau avec lequel tu m'as saigné...à la porte ! C'est fait !
Pourquoi revenir...si c'est pour des mois après m'oublier sur un lit
Alité, ne pouvant même pas m'habiller moi-même, c'est mon anniversaire
Tu téléphones...sur répondeur...et je tombe mes heures en exilé ici
Comment te le dire, que je te déteste à ne pouvoir que vouloir t'aimer, c'est clair ?
Oui je te hais,
Oui désormais, je te fuis...
Je te fuis comme le Diable...je te fuis traitresse
Je te fuis en ami, en amour, dans ma violence amère
Je te fuis, j'ai été le plus beau pour Toi
Et avec toi je l'ai découvert ce Moi Démon
En moi j'ai vu mon Enfer
et on arracherai toutes les étoiles du Ciel, pour enlever la lumière sur l'être que l'on est,
ainsi effondré
...
Je te fuis, je te fuis, je te fuis !
...
Oui c'est sûrement de la lâcheté...qu'ai-je à en faire désormais ?
MADAMECRITIQUE le 13-04-2012 à 10:42:22 # (site)
J'ai vécu il y a quelques années trop longtemps un amour non partagé, et si ce n'est pas ce que veut exprimer ton texte je m'y retrouve, l'amour, la peine, la haine puis l'indifférence et enfin un autre amour ...
lumaee le 12-04-2012 à 16:49:52 # (site)
Et non Pasko elle ne les lit pas...tant mieux, tant pis, je sais pas !
Comment tu vas ?
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